Chers amis,
Les Eclaireurs de HEC CECI, te proposent le Moment Eureka...
...Avec une conférence sur la "disruption", terme largement usité mais qui nécessite un éclairage d'experts, pour mieux le cerner.
Concept imaginé par Clayton Christensen dans son livre "the innovator's dilemma" en 1997, les "technologies de rupture" comme elles se traduisent nous emmènent sur le chemin de l'innovation. Jusque là, les entreprises et les populations raisonnent en innovations incrémentales, qui améliorent certes, mais conduisent à une uniformisation de la pensée innovative et tendent à se copier les unes aux autres. Or, le marché a besoin de disruption, pour ne pas disparaître et créer de nouveaux marchés rupturistes. nous connaissons et illustrerons par deux exemples :
- avant l'arrivée de l'automobile, qui ne pouvait être imaginée dans la tête du grand public, les voyageurs en voiture à chevaux, si on leur posait la question, demandait pour améliorer le transport...des chevaux plus rapides.
- Steve Jobs ne demandait jamais l'avis à ses clients pour innover. Comment auraient-ils pu imaginer la création de "l'Iphone", objet électronique nomade qui a tant changé notre rapport au téléphone et à l'internet mobile. Lui seul savait par intuition (nous pouvons avancer "génie"), qu'il avait un rôle à jouer...
- Space X est parti d'une seule question : "pourquoi une fusée ne pourrait servir qu'une seule fois?"
On pourrait croire que seule la technologie est vecteur de "disruption", elle est un moyen c'est sûr, et souvent un catalyseur rendant possible ces sauts dans l'innovation. Elle n'est pas le seul vecteur, en revanche elle débride les pensées les plus folles. Uber, Netflix sont encore des entreprises connues aujourd'hui qui ont montré des renouveaux colossaux dans l'innovation...
Pour cette conférence, nous accueillons Alain Staron, auteur du livre "Auto-Disruption: do's and don'ts to survive in 2020's"
Alain Staron est un « disrupteur opérationnel » , à la recherche des opportunités cachées dans les écosystèmes. S’auto-disrupter avant de se faire disrupter, telle est l’injonction pour laquelle il a développé une méthodologie au sein de l’agence de co-développement qu’il a créée, Amborella, pour aider les entreprises à pivoter à temps. Il est également conférencier à HEC et Centrale , chroniqueur à Forbes-France et BSmart , et contribue au Cercle Les Échos.
Alain a plus de trente-cinq années d’expérience de l’innovation dans trois groupes de taille mondiale ainsi que dans des start-up, dans des domaines allant du médical à la mobilité en passant par les services, les médias, les jeux et l'électronique. Avec plus de quinze brevets et gagné trois prix d’innovation, il a été l’artisan de plusieurs innovations de rupture.
Alain est diplômé de l'Ecole Polytechnique, de l'ENST et auteur d'une thèse en traitement du signal.
Pendant cette conférence, nous demanderons à notre invité :
- une légère histoire de cette "disruption", depuis Christensen
- les exemples identifiés et leur processus créatif
- la méthode ou les méthodes que devrai(en)t suivre les entreprises
- l'auto disruption, générant souvent des positions cruelles mais nécessaires à la survie sur les marchés
- son opinion la disruption du travail et la nécessité de travailler différemment (et les indépendants que nous sommes en sont une forme qui se développe)
- y aurait-il également des exemples de disruption sur le plan politique et au niveau des états ?
Au plaisir de t'y retrouver très vite,
L'équipe des Eclaireurs de HEC CECI : Olivier Blandin, Laurent Blondeau et Jean-Etienne Bouedec.
Si tu as toi-même une idée dans ce cadre de découverte, n'hésite pas à nous la soumettre"
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