Club Médias & Entertainment
Reçoit
Denis OLIVENNES
Président de CMI France
sur le thème :
«Quel avenir pour la Presse?»
Jeudi 06 Juin 2019
A 8h00 précises
A l’Association HEC
9, avenue du Président Roosevelt– 75008 Paris
Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, Denis Olivennes est agrégé de lettres modernes, diplômé del'IEP de Paris et ancien élève de l'ENA dont il sort à la Cour des compte.
Conseiller du ministre de l'économie et des finances (1992), puis du Premier ministrePierre Bérégovoy, il rejoint le groupe Air France, (1993) dont il deviendra directeur général adjoint.
Il rejoint le Groupe Canal+ en 1997, d’abord comme PDG de sa filiale NC Numéricable, puis en qualité de DG puis de président de Canal+ France (2000).
En 2002, il rejoint le groupe PPR (renommé Kering) et devient PDG de la Fnac (2003). Il initie notamment l’ouverture des magasins Fnac en périphérie des grandes agglomérations et développe le site fnac.com. En 2007 la Fnac atteint un résultat historique.
En mars 2008, rejoint Le Nouvel Observateur en tant que directeur général délégué et directeur de la publication, qu’il remet à l’équilibre.
Fin 2010, il succéde à Alexandre Bompard à la tête d'Europe 1 puis devient PDG de Lagardère active en 2011. Entre 2011 et 2018, le résultat opérationnel de la société progresse de plus de 30%. À partir de mars 2018, il conduit le processus de cession des activités de presse, de radios internationales, de numérique et de télévision décidé par le Groupe Lagardère.
En janvier 2019, Denis Olivennes est nommé à la présidence non-exécutive du groupe CMI France, le regroupement des médias de Daniel Kretinsky qui compte neuf titres (Marianne ainsi que les huit publications rachetées à Lagardère Active).
Denis Olivennes est Chevalier de l’ordre national du Mérite, Chevalier de la Légion d’honneur, Président du comité de soutien de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme. Il est l’auteur de nombreuses publications (« L'Impuissance publique » en 1989, « La gratuité, c'est le vol : quand le piratage tue la culture » en 2007, « Mortelle transparence » en 2018 ) et d’un rapport remarqué pour le Ministère de la Culture sur l’offre culturelle et la lutte contre le piratage illégal sur internet.
